Justice
Tu n’es pas la même que j’avais connue
Très arrogante, inébranlable,
Froide, méticuleuse, avec ton menton élevé,
Comme quelqu’un qui ne doit rien
Ta peau lisse sans sentiment
Se pourrit maintenant
Tu ne peux pas le cacher
Et je te regarde en secret
Tu as tellement de sang
Que tes victimes te réclament
Mais tu n’écoutes rien
Tu as perdu ta sensibilité
L’animosité t’a blessée mortellement
Chez nous, la terre s’ouvre,
S’écoutent des cris des corps démembrés,
Les innocents qui demandent une mort digne
Et ces mères inconsolables, sans le droit de pleurer,
Contemplent ces cœurs brisés en attendant le pire
Ces hommes vont trop loin
Pour préserver le pouvoir
La violence les alimentent, les excitent
Malgré cela, ils se perçoivent comme les vrais libérateurs
La lutte n’est jamais terminée
Entre-temps que fais-tu ?
Ta volonté est souillée
Tu es une simple illusion maudite qui n’existe pas
Mieux vaut souffrir dans la solitude
La Promesa, mi más reciente libro
¡Bienvenidos a todos los amantes de la literatura y a los nuevos lectores que est&aa…